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DzActu.Com avec Le Temps d'Algérie | Jeudi 03 Octobre 2013 à 02h13
Hadj Tahar Boulenouar, porte-parole de l'Union générale des commerçants et artisans algériens (UGCAA) a indiqué hier lors d'une conférence de presse qu'il a animée au niveau du siège de l'union de Constantine, que «pour l'Aïd de cette année, les éleveurs vont mettre en vente 3 millions de moutons» et que la production nationale «répond largement» à la demande.
«Le prix moyen du mouton oscillera entre
35 000 et 40 000 DA», a-t-il encore déclaré en précisant que le marché est stable cette année. Quant au cheptel, il varie entre 20 et 22 millions de têtes. Il faut dire que pour que le prix du mouton de l'Aïd puisse être abordable, il faut arriver à constituer un cheptel de 50 millions de têtes, selon toujours les explications du porte-parole de l'UGCAA.
Il est vraiment temps d'encourager l'investissement dans le domaine de l'élevage, à travers l'importation de brebis car le manque d'éleveurs à travers tout le pays est très pénalisant. Beaucoup d'entre eux ont préféré devenir importateurs, car cela rapporte beaucoup plus.
«L'élevage n'intéresse plus grand monde, et aujourd'hui il n'y a pratiquement plus de bergers en activité. Il faut savoir que la spéculation menée par les maquignons informels a un impact important sur la flambée des prix», détaille Hadj Tahar Boulenouar.
A l'approche des fêtes, certains troupeaux de moutons passent par plusieurs mains avant d'être écoulés sur le marché. Résultat : le prix augmente chaque fois qu'un intermédiaire prend sa marge bénéficiaire.
Concernant la régulation du marché de bétail, Hadj Tahar Boulenouar affirme que le désordre règne toujours en maître en absence de coordination entre le ministère du Commerce, celui de l'Agriculture et du Développement rural et les collectivités locales. Pour cela, le conférencier recommande de mettre en place des points de vente directement sous l'autorité des services de contrôle. Seul remède pour essayer de casser le monopole qu'exercent les intermédiaires. «Il faut imposer un quota de moutons à vendre pour chaque revendeur. C'est une façon d'empêcher la formation de véritables monopoles. Cela permet aux responsables du secteur d'avoir un œil sur ce qui est proposé aux acheteurs.
Puisque les moutons qui sont en vente dans les marchés informels échappent à tout contrôle». Quant aux points de vente, «c'est le désordre total cette année», reconnaît le représentant des commerçants.
I. T.
Source : Le Temps d'Algérie
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